Mais l’explication en est tout autre. Le Surnom de « Big apple » pour la ville de New York provient en fait d’un journaliste du Morning Telegraph. Celui ci reprit publiquement une expression que les jockey utilisaient entre eux pour désigner le tour de piste lors des courses de chevaux. C’est donc en 1920 que le journaliste sportif John Fitzgerald fit rentrer dans le domaine publique l’expression. En effet il décida de nommer sa rubrique : « Around the Big Apple ». Et dans son introduction il commençait par « There is only one Big Apple. That’s New York ». C’est donc en utilisant une expression du monde des courses de chevaux que John Fitzgerald qui fit entrer l’expression dans le domaine publique. Les années folles sont déjà loin et la réputation de New York n’est pas forcément très positive. En effet car à l’époque il se dit que New York est une ville très dangereuse. Dans ce contexte, Charles Gillett alors président du « Convention and Visitors Bureau » cherche à faire évoluer la réputation sulfureuse de la plus grande ville des Etats Unis. De plus, il y a également plusieurs arrêts à Brooklyn et dans le Queens. Pendant la saison estivale, les lignes East River et South Brooklyn proposent un nouvel arrêt, le week-end, à Governors Island. Les billets peuvent s’acheter directement aux machines situées à chaque embarcadère ou via l’application mobile NYC Ferry. Le prix d’une traversée en ferry est le même que celui d’un trajet en métro. Les billets de métro ne peuvent cependant pas être utilisés pour le ferry. Ce service de ferries est une bonne alternative au métro. Gardez néanmoins à l’esprit que le ferry est moins fréquent que le métro, il y a donc toujours un peu plus d’attente. Notez également que les ferries sont souvent utilisés par les New-Yorkais qui empruntent ce trajet chaque jour pour rejoindre leur lieu de travail et rentrer chez eux. Il est donc recommandé d’éviter les heures de pointe. Le reste de la journée est plus calme.

Cette fois, il a disputé son quart le mardi après-midi et ne semble pas aussi entamé. Il aborde le choc avec Nadal dans de meilleures conditions. La question : Va-t-il enfin franchir le cap ? Juan Martin Del Potro et les demi-finales en Grand Chelem, ce n’est pas exactement une grande histoire d’amour. Depuis son titre à New York en 2009, l’Argentin a buté par trois fois aux portes d’une finale majeure. Dont deux fois ces douze derniers mois, à chaque fois contre Rafael Nadal, l’homme qui se dresse encore sur son chemin ce vendredi. Mais au vu du contexte, c’est peut-être sa meilleure opportunité depuis très longtemps. A lui de la saisir. Son US Open : C’est plutôt costaud. Hormis lors de son quart de finale très décousu face à Marin Cilic, le Japonais a joué un tennis dans l’ensemble régulier, tout en économisant son énergie. Son tableau de chasse a de la carrure : Maximilian Marterer, Gaël Monfils (sur abandon), Diego Schwartzman, Philipp Kohlschreiber et Marin Cilic. Je le recommande vivement pour tout le monde, même si vous n’êtes pas spécialement fan de sport et/ou de basket car l’ambiance est vraiment unique ! Quand faire la réservation ? Le plus tôt possible pour avoir le choix des places au meilleur prix. Il n’y a pas que le basket à New York! Vous pourrez voir des matchs de sports typiques tels que le football américain, le baseball, le hockey sur glace… mais c’est aussi à NY que s’organisent des tournois internationaux de golf ou de tennis! Quand faire la réservation ? Comme pour le basket, le plus tôt possible pour avoir le choix des places au meilleur prix. Les comédies musicales, les pièces de théâtre… C’est l’essence même de New York! Vous trouverez certainement un spectacle qui vous convienne tant le choix est immense! Quand faire la réservation ? Si vous souhaitez assister à de ces spectacles il vaut mieux réserver à l’avance pour vous assurer d’avoir une place au meilleur prix.

Une explication apocryphe dit que le terme vient de l’argot jazz : étant donné que dans les années 1920 et 1930 beaucoup de musiciens vivaient souvent au jour le jour, les engagements occasionnels étaient parfois appelés des « pommes ». Jouer à New York était considéré comme un « Grand Moment », d’où le terme de « Grosse Pomme ». Sans oublier que les Européens, débarquant sur le territoire américain dans le port de New York et voulant vivre le rêve américain, avaient comme devise de vouloir « croquer la vie à pleine dent ». Expression légèrement détournée en anglais pour donner « crunch the apple ». La ville de Manhattan, dans le Kansas, se fait appeler la « petite pomme » dans ses brochures publicitaires, et Minneapolis dans le Minnesota la « mini pomme ». Quant à Toronto, elle est souvent appelée, principalement à cause de sa taille, la « Grosse pomme du Canada ». Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Ton day » (voir la liste des auteurs). Why is New York called the Big Apple? Why can’t Cecil get his facts straight about the origin of « Big Apple » and mention John J. Fitz Gerald? And what about « Windy City »?

En 2010, l’État de New York avait la 4e plus forte proportion d’Asiatiques après Hawaï (38,60 %), la Californie (13,05 %) et le New Jersey (8,25 %) ainsi que la 9e plus forte proportion d’Hispaniques des États-Unis. A contrario, l’État avait la 7e plus faible proportion de Blancs des États-Unis. ]), d’une natalité plus faible (9,9 ‰ en 2010) que les autres populations (17,0 ‰ pour les Hispaniques, 12,4 ‰ pour les Noirs, 11,0 ‰ pour les Asiatiques) et d’une augmentation substantielle des unions mixtes. L’État avait la 4e plus forte proportion de personnes d’origine italienne et la 7e plus forte proportion de personnes d’origine polonaise. L’État abrite la plus grande communauté juive des États-Unis. L’État abrite également la 3e communauté arabe des États-Unis. L’État regroupait à lui seul 47,7 % des Dominicains, 40,4 % des Équatoriens et 23,2 % des Portoricains résidant aux États-Unis. L’agglomération de New York-Newark était numériquement la 2e agglomération portoricaine (1,4 million de Portoricains) après celle de San Juan (2,6 millions d’habitants) et la 2e agglomération dominicaine (0,9 million de Dominicains) après celle de Saint-Domingue (3,7 millions d’habitants).

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