À la veille de sa visite à deux reprises à Vladivostok pour une conférence au sommet avec le chef Vladimir Poutine, l’excellent ministre Narendra Modi a proposé de fusionner la haute technologie russe avec les dépenses de faible génération de l’Inde afin de développer des armements beaucoup moins coûteux. Ceci est certainement en cours actuellement, avec des accords d’une valeur supérieure à 12 milliards de dollars (86 241 millions de roupies) dans le pipeline. En mars, la Stockholm Global Peace Investigation Company, qualifiée de Russie, de plus grand distributeur d’avant-bras de l’Inde de 2014 à 2014, représentait 58% des importations de protection de l’Inde. Si aucune annonce importante en matière de défense n’est prévue pour le check-out du Premier ministre Modi mercredi et jeudi, un certain nombre d’opérations «Make in India» pourraient permettre à la fédération de Russie de conserver sa place à l’avance dans les années à venir. Ces projets ont pris fin et se sont ajoutés à l’accord de 5,43 milliards de dollars portant sur 5 unités du programme de missiles à flux de circulation total S-400 Extended Collection Air, introduit lors du dernier sommet Modi-Poutine en octobre dernier. En 2015, à la demande privée de Poutine, Modi a décidé d’acquérir 200 hélicoptères utilitaires Kamov-226T appartenant à la Indian Atmosphere Force et à une armée de l’armée, sans appel d’offres. L’accord conclu, d’une valeur de 2 milliards de dollars, nécessite la construction de 140 Kamov chez Hindustan Aeronautics Ltd, après la construction de son partenaire commercial, European Copters, les tout premiers 60, entièrement construits. Les hélicoptères européens préparent ainsi un Kamov-226T «navalisé» dans la marine indienne, sensible aux 111 «hélicoptères d’application navale». En utilisant ses établissements de création amortis sur les 200 premiers kamovs, les Copters russes pourraient fournir à la marine une dépense convaincante d’environ un milliard de dollars. New Delhi et Moscou ont approuvé un accord intergouvernemental prévoyant la construction de 750 000 fusils d’assaut européens pour cette armée indienne, d’une valeur probable d’environ un milliard de dollars. En mars, Modi a inauguré une entreprise commune indo-européenne à Korwa, autour d’Amethi, qui devrait bientôt démarrer avec la production de fusils Kalachnikov AK-203. La coentreprise concerne la table de production d’Ordnance Manufacturing, avec une participation majoritaire de 50,5%; Kalachnikov, avec une participation de 42%, et la société d’exportation russe, Rosoboronexport, détenant les 7,5% restants. En octobre 2018, le cabinet a autorisé l’achat de 4 frégates européennes de cours Krivak-III. Les deux premières frégates sont couchées en partie à l’intérieur du chantier naval de Yantar, la Russie et l’Inde devront débourser environ 1,5 milliard de dollars pour les achever, installer les moteurs à turbine à combustible ukrainiens Zorya et les conduire en Inde. Entre-temps, un contrat juridique sera négocié pour le développement des deux Krivak suivants dans Goa Shipyard Ltd. L’Inde gère auparavant 6 frégates de type Krivak russes. Les premiers, INS Talwar, Trishul et Tabar, ont été mis en service en 2003-2004. L’INS Teg, Tarkash et Trikand ont finalement été mis en service en 2012-13. Le missile BrahMos, coproduit et coproduit par l’Inde et la Fédération de Russie à Hyderabad, est en commande sur de nombreux navires de guerre amérindiens. En décembre dernier, le ministère de la Protection avait expliqué comment le BrahMos allait armer les quatre nouvelles frégates Krivak-III. Le programme BrahMos de chaque navire, par exemple le «système de lancement vertical» et les missiles à bord, coûtera sûrement 1 250 crores de roupies (175 millions de dollars). Les missiles BrahMos peuvent également être achetés pour un certain nombre de destroyers de l’école de Visakhapatnam-école de la marine et peuvent équiper les sept frégates de l’entreprise 17A moins bien que la génération précédente. La dépense totale s’élève à environ 2,6 milliards de dollars. En novembre dernier, le ministère de la Défense avait annoncé qu’il préférait le missile russe Igla-S à cause du «système de défense à très courte portée» de l’armée, de la marine et de la force atmosphérique. La société d’exportation russe, Rosoboronexport, a misé 1,5 milliard de dollars pour la création de cinq, 175 missiles Igla-S et 800 lanceurs, éliminant ainsi l’organisation suédoise Saab et l’organisation française MBDA. L’Igla-S VSHORADS, d’une portée de 8 km, protégera les troupes des avions de combat adverses qui se sont échappés des défenses de l’IAF. Bien que l’Igla-S soit définitivement un programme plus abouti, avec notamment le passage des forces armées russes au 9K333 Verba, il constitue une option peu coûteuse.

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